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Veaux Tarifs stables en laitiers

Les spots promotionnels « Bravo le veau » pour la Pentecôte ont débuté, avec l’espoir que le marché se désengorge avant la période estivale.

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Dans un contexte toujours très tendu dans les élevages, les négociants ont du mal à faire comprendre que les tarifs diffusés par les marchés aux bestiaux intègrent des coûts de ramassage et de commercialisation.

 

Les transactions sont fluides dans les veaux laitiers, même si les intégrateurs qui ont la maîtrise des prix n’accordent pas de hausse. La demande en veaux de qualité est pourtant assez soutenue. C’est sur les cadrans bretons que le commerce est le plus dynamique, avec des tarifs qui montent entre 180 et 200 € pour les très bons sujets.

 

Les tarifs se maintiennent sur Château-Gontier, Lezay ou Agen. La gamme tarifaire des prim’holsteins standards 45-55 kg va de 130 à 160 €, pour monter à 180 € pour les plus lourds. Cette tendance positive s’étend aux normands, alors que les bons montbéliards restent demandés et très bien valorisés dans le Sud-Est.

 

Le commerce reste compliqué dans les croisés laitiers, même si l’offre est ponctuellement moins importante et que les tarifs sont globalement calés sur le prix des veaux laitiers.

 

Concernant les veaux allaitants, la tendance est lourde dans les limousins, avec trop d’offres pour cette semaine. Les croisés montbéliards bien conformés (U) se négocient correctement entre 450 et 500 €, voire 550 € dans les supérieurs. Quant aux ordinaires, les tarifs sont plus variables en fonction de leur poids, de leur âge ou de leur fraîcheur. La gamme de prix est très large et se situe entre 200 et 400 €, avec un tri toujours sévère dans les femelles.

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